keiko koma

25 Juillet 2009

Tyr

Du ciel bleu avec des nuages blancs au Liban fut toujours gentil et amène. Nous conduisîmes en voiture au sud et jouîmes d’une mer bellement splendide en bleu et de paysages par où j’étais passée maintes fois.   Comme je voyais des entreprises de bananes et diverses fleurs en rouge, blanc, et mauve, je sus que nous nous approchions de Tyr. Avant donner un concert j’avais l’habitude de devenir sensible et inactive, cependant tout à Tyr me relâcha et je pus aller à une conférence de presse avec plaisir. Le Prof. Ghazi me dit qu’une bannière sur moi disait ‘comme poète, Keiko Koma débuta à Tyr’. Pendant la répétition je fus énormément mue par la musique de M. Idaki Shin tandis que je sentais la présence de l’âme de mon ancêtre et narrais des poèmes avec des larmes qui jaillissaient souvent aux yeux. Je reconnus que ses âmes nous étaient reconnaissantes. J’imaginai le roi Tomei qui me guidait pour passer le fleuve Amnokkwang et nous étions debout ensemble sur la terre de Corée du Nord. Mon âme fut extrêmement mue. Je reconnus qu’effectivement je me trouvais dans le terroir de mon âme et je me sentis reconnaissante d’être pourvue de l’opportunité précieuse de célébrer un concert historique. Je fus remplie d’énergie dynamique pour réaliser notre évènement. Nos coopérants d’Iran et Éthiopie vinrent aussi s’unir avec nos coopérants libanais et japonais, et nous pûmes jouir d’une répétition merveilleuse.