keiko koma

sign-6-1.jpg

12Juin 2009

Depuis Frankfurt

La nuit de notre partance de Téhéran, M. Ferry aimablement nous invita dîner chez lui puisque nous prenions un vol après minuit. Il a été en train d’aider dans la production de notre concert depuis l’époque du projet de Persépolis. Il fut toujours actif, joliment rapide et juste dans chaque geste de façon que je pusse comprendre qu’il était une personne vraiment amène même que nous parlassions des langues différentes. D’ailleurs il était aussi bon cuisinier et ensemble avec son ami, la dernière fois que nous étions en Iran, ils nous avaient invités dîner ensemble avec nos coopérants et des membres de la famille de M. Idaki Shin. De façon que celle-ci fût la seconde fois. Tandis que nous le louions avec emphase nous rîmes en disant qu’il était trop bon cuisinier pour avoir une femme. Quand nous connûmes son ami la première fois, il souffrait de douleurs physiques dérivés probablement de problèmes mentaux originaires de la guerre contre Iraq. Il consulta M. Idaki Shin à son sujet en connaissant son habileté et reçut quelques soins. Cette fois-ci  il lui remercia beaucoup en disant que depuis lors ses douleurs incurables aux jambes avaient disparu. M. Ferry vint toute la route depuis Iran au Liban pour voir mon concert de Légendes de Koguryo Redécouvertes en Tyr, et resta très impressionné avec mon actuation poétique, de façon qu’il fût en train d’anticiper beaucoup la réalisation d’une telle en Iran. Il aida beaucoup aussi en faisant une grande scène dans notre concert d’Arménie. Je remerciai toujours son grand appui. Avant d’arriver chez lui nous visitâmes une entreprise d’illumination et M. Idaki Shin dit que personne n’imaginerait combien nous avions vaincu de difficultés et obstacles pour réaliser chacun de nos concerts. Parce que nous avons été en train de plaquer des échafaudages négatifs et d’énergies dans notre société qui ont été en train d’opprimer la nature humaine, en sacrifiant des vies précieuses y prévenant la paix, la raison pour laquelle nous dûmes faire face à tant de problèmes pendant le processus de réaliser un concert était fort compréhensible. L’antérieur ambassadeur d’Éthiopie au Japon me dit une fois qu’il n’avait jamais connu personne similaire à l’un de nous qui fusse en même temps très actif, précis, et rapide dans la prise de décisions, logique et toujours riche en sensibilité interne. Je sus que nous étions pourvus de ces habiletés dû aux cours de conseil d’Idaki qui nous réveillaient à vivre nos vies fidèles à la nature de la vie, laquelle était une clé pour faire possibles maintes choses miraculeuses dans nos projets.