Untitled

sign-6-1.jpg

14 Jan 2009

Père de Koguryo

Deux jours après l’année nouvelle j’ai appris beaucoup de choses importantes dans ma vie. Même que je voudrais écrire au sujet de toutes c’est physiquement impossible. Depuis l’enfance le jour deuxième de l’an j’avais comme règle aller saluer le sanctuaire de Koma. Mais cette année j’allai au centre de la fusée, puisque il y avait calligraphie de Koma qui servait comme signe d’un lieu saint de Koguryo. Quand je m’assois devant elle je pourrais retrouver tous les rois de Koguryo, et aujourd’hui j’imaginai la fondation pour la construction d’une nation nouvelle. Je fus comblée de lumière d’espoir. Aujourd’hui aussi je demandai M. Idaki Shin de faire autre calligraphie pour mettre à l’entrée. Tandis qu’il dessinait, je faisais des broches en argent avec grande joie tandis que je sentais plein de lumière le monde trois étapes avant la grande explosion. Il finit par me demander s’il y avait quelque chose de plus que je voulusse lui demander. J’étais à point de dire ‘rêvez au Mont Gojo’ mais comme un sentiment fébrile surgit en moi je ne pus à peine rien dire. Tandis qu’il dessinait de la calligraphie je sentis la même atmosphère précieuse qu’acceptait pleinement mon cœur que j’avais subie pendant l’encore de notre concert à Aomori, quand spontanément je narrai un poème et versai des larmes. Sa calligraphie fut accompagnée d’un cadre spécial où il cisela ses propres desseins. Il paraissait exprimer une vaste dimension d’esprit humain que faisait tous bénévoles et suaves, et paraissait en quelque chose un patron du cosmos ou une vielle statue de l’ère Jomon. Je me sentis avec envie de faire moi-même mon propre cadre et j’en réalisai un très amusant même que je n’avais essayé de ciseler un cadre en bois depuis qu’on m’enleva l’échafaudage de conscience l’année dernière. Enfin, il fit le dernier cadre qui me rappela ma peinture favorite à Hirosaki que j’aimais toujours observer pendant longtemps. Son dessein et sa calligraphie paraissaient ce que j’appelais un lumiérissage inspiré par cette peinture du Mont Iwaki et fleurs de cerisier. J’imaginai aussi un monde ancien où tous vivaient une vie heureuse en se chérissant les uns aux autres. On pourrait aussi dire que ce représentât une vie humaine idéale connectée avec l’univers, bénie de terre riche, en embrassant le soleil dans chaque cœur et recevant de l’information par mer. C’était une vision de tout. M. Idaki Shin me dit aussi qu’on pouvait interpréter nôtre ère comme l’ouverture de la Maitreya, une divinité bouddhiste qui avait quelque affinité avec ce que nous appelions le monde trois étapes avant la grande explosion. Je sentis un grand espoir de futur de l’humanité tandis que j’imaginais dans ma vie aussi une divinité bouddhiste le 31 décembre, 2008. Quand je rentrai chez moi un panneau photographique que j’avais commandé fut apporté. C’était une photo du Mont Gojo que j’appelai le père de Koguryo, parce que la  photo fut prise dans le même endroit où je sentis la présence du roi Tomei et je fus profondément impressionnée par son cœur qui paraissait prévoir ce qui se passerait après deux mille ans, puisqu’il appela le Mont Gojo par un nom qui avait le même sens qu’Idaki. Dans ce moment n’importe quel lapsus de temps fut transcendé et je retrouvai le roi Tomei, le premier roi de Koguryo. Je l’appelai père de Koguryo. Ainsi chaque fois que je regardais la photo des vents du Mont Gojo soufflaient et je pouvais sentir sa présence. Le rêve du Mont Gojo fut le rêve pour réaliser la paix globale.