keiko koma

1 Novembre, 2019

Je suis rentrée au Japon depuis Vladivostok, où il neigeait légèrement. Le matin, en regardant la mer qui a fusionné avec le ciel nuageux, j'ai ressenti de la tristesse et de la douleur. Je me suis rappelée que j'ai ressenti la même chose à la vue sur l'océan lors de ma première visite à la ville. C'était en février, la période la plus froide de l'année. Du paysage, j'ai ressenti profondément la douleur de la vie humaine. Je vais créer une galerie pour brûler la lumière de l'espoir dans ce lieu, comme pour parler avec moi-même dans mon cœur, je contemple pourquoi je suis venue ici. La terre de la Russie est infiniment vaste. Après leur arrivée ici après l'effondrement de leur nation, comment le peuple Koguryo a-t-il vécu ?—Je me demandais. Je prends cela à cœur que, unies avec toutes les âmes, nous devrions maintenant créer un monde où les humaines peuvent vivre comme des humaines. Ma vie n'est pas seulement la mienne; Je vis avec beaucoup d'âmes. Face à ma douleur hier soir, je suis venue à la conclusion que la réponse est de vivre unifiée avec Être Grand. La création d'un mouvement nouveau ouvre la voie à notre avenir. Exprimant et prenant des mesures sur mon sentiment le plus profond né de ma vie, une rencontre avec l'avenir, je vivrai pour créer des mouvements nouveaux.