keiko koma

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7 Octobre, 2019

Le jour du départ pour la Russie est enfin venu. C'est 2,5 heures en avion. Je sens clairement du vent que c'est un climat différent de la terre de Tokyo où la chaleur estivale reste. Chaque fois que je viens ici, je continue à parler de mes compatriotes séparés, car c'est le but de ma visite. J'en ai reparlé à mes connaissances russes, et elles se sont qualifiées de compatriotes. Ca m'a rendu heureuse. Je peux rencontrer encore plus de mes semblables. Dans l'avion, je pensais à ce que ces rencontres signifient. Je m'attends à ce que ce soit différent de ce que j'imagine. Et j'attends avec impatience un moment où il deviendra clair.
C'est ma troisième fois à Vladivostok, et la ville est déjà un endroit familier pour moi. Il me fait sentir merveilleuse de penser à l'avenir et l'ouverture d'un café galerie et la tenue de plus de concerts de Maître Idaki Shin. Je me sens bénie de travailler avec mes compatriotes. La nuit froide avec un sentiment de solitude s'infiltre dans mon cœur. Mais je me demande comment cela va changer quand beaucoup d'esprits reprennent. J'ai hâte de me tenir debout sur terre après le concert à venir. Demain, beaucoup de gens viendront du Japon. C'est intéressant d'imaginer avoir beaucoup de mes connaissances dans la ville.
Je me demande comment les choses vont progresser demain. Pour cette fois, je suis venue ici en février dernier dans les profondeurs de l'hiver, un endroit où mes compatriotes restaient immobiles. Pour bouger en recevant les conseils d’Être Grand, je reste riche et belle à l'intérieur. Merci beaucoup.