keiko koma

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27 Septembre, 2018

D’un poème que j’ai écrit dans un cahier, que je portais avec moi quand j’ai visité ma plus chère patrie.
Sentir le vent de ma patrie.
Embrassée par l’arôme de ma patrie,
Mon cœur a été ému.
Et quand j’ai versé des larmes,
Des mots que j’ai écrits comme « le père de Koguryo »
Ont touché profondément mon cœur.
J’ai réalisé que je vis une vie, unifiée avec le chagrin du « père ».
Il est temps enfin, quand nous pourrions créer un monde où la tristesse se transformera en amour.
Des sentiments de regret seront récompensés,
C’est un moment où l’amour portera ses fruits.
Le vent du Mont Gojo,
L’air pur de Jian,
Un ciel bleu vers le ciel élevé,
Le roi que je chéris.
Une vie à vivre dans l’unité avec l’ensemble dans l’avenir,
Est une vie vraie.