keiko koma

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2 Juillet, 2018

La chaleur torride d’été unifia nos cœurs. Nous avons teint des rideaux « marbrés » et kimono d’été « Yukata », allant en direction de grandes entreprises dans l’avenir. J’ai été émue de voir l’apparition de merveilleux modèles de la marbrure qui a montré que la dimension du monde a changé. Sa beauté était tellement splendide qu’elle nous a soulagea de la chaleur. Je sens l’espoir dans l’avenir.
Je vois qu’il n’y a aucun avenir pour nous si nous manquons l’occasion de la seconde moitié de l’année où j’envisage un mouvement radical. Je le prends comme la dernière chance dans ma vie, celle que j’ai souhaité réaliser dans un monde de paix et se déplace depuis maintenant à consacrer ma vie à elle. L’existence humaine est éternelle. J’ouvre la voie pour réaliser mon souhait sincère avec les âmes de Koguryo qui vivaient unifiées au cœur et l’âme.
Quand j’ai vu le premier DVD du concert au Café Koma « Légendes de Koguryo Redécouvertes » aujourd'hui, je me suis souvenue que nous l’avons créé pour informer le monde entier à ce sujet. Après avoir connu la mort de mes parents, je ne pouvais pas vivre à moins que je me fusse déplacée vers l’avant. Et j’ai retracé les origines de Koguryo, ai visité le Liban et ai été amené à l’Éthiopie qui se trouvait être le lieu de naissance des êtres humains. Le DVD a été créé après la plus douloureuse expérience de perdre mes parents. Avant le septième jour après le décès de ma mère, j’ai visité Mont Gojo à nouveau. Je ne pus pas m’empêcher de verser des larmes quand je regardais le paysage de la ville à proximité. Je cherchais alors des restes de ma mère. Je me souviens avoir écrit la phrase dans mon poème, « Comme je m’étends sur le lit à l’hôtel à la tombée de la nuit, j’ai versé des larmes, incapables de la retrouver. » J’ai n’eu aucun autre choix que d’accepter la réalité que ma mère est décédée. Des larmes remplirent mes yeux sentant une existence qu’elles m’ont toujours soutenue. Je vivrai éternellement ainsi que l’existence qui est unifiée avec moi, quoi qu’il arrive. Dans la chaleur torride de juillet, le mois où le cas de ma mère est passé, je contemple ma vie — avec qui je vais vivre, qui me trahira, etc.. Je vais maintenant mettre fin á la vie vivant avec tristesse. Sans la vie éternelle de l’être humain, le sens que naître et vivre dans ce monde est perdu. Ma vie en est une où je peux travailler pour réaliser la paix qui est sans précédent dans l’histoire humaine. Me sentant sincèrement reconnaissante, je vivrai pour approfondir ma compréhension de sa signification profonde.