keiko koma

26th Jan. 2017

Au salon de rassemblement documentaire de Keiko Koma organisé au Café Akira à Tokyo, j’ai projeté une œuvre en vidéo de Mont Gojo par maître Idaki Shin avec musique du temps, également intitulée Mt. Gojo, qui m’a fait sentir comme si je devais marcher maintenant joyeusement à l’intérieur du Mont Gojo. Je me suis sentie un vent à Mt. Gojo qui m’a invité à un espace cosmique éloigné et sans fin ; une nouvelle dimension de la liberté est devenue grande ouverte dans mon esprit. Le centre de ma vie a été stabilisé sans aucune bordure. J’ai ressenti une joie exquise au-delà des mots. J’ai réalisé que l’interne humaine n’avait aucune limitation et était libre. Cela devrait être au cœur de la vie humaine. Après avoir perdu mes deux parents j’ai été dans un désespoir profond, comme ils étaient partis de ce monde visible, cependant, je pouvais réaliser leur présence comme je l’écoutais dire à mon interne. Une vie nouvelle est devenue grande ouverte avec de la richesse au cœur.
L’année 2007 j’ai tenu en Syrie le concert commémoratif 100ème des Légendes de Koguryo Redécouvertes et voyageai en Syrie afin de préparer des séquences de vidéo avant le concert. À ce moment-là, j’ai reçu un message « d’un centre à un autre centre » et j’ai créé un poème à ce sujet. Bien que je ne pouvais pas expliquer analytiquement ce que cela voulait dire, je pouvais envisager une forme et en saisir la vérité. Une lumière-de-paysage dont j’avais rêvé hier soir a proposé un centre au-delà d’un espace cosmique, un monde d’internat humain est devenu grand ouvert et a été unifié avec un monde sans fin. Je pouvais réaliser le centre comme champ pour moi y vivre dessus. Merci beaucoup.