keiko koma

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16th Mar. 2014

Phénicie

Depuis que je perdis mes parents je fus dans un désespoir profond et dus créer un futur pour y vivre dessus. Après je traçai les racines de mes ancêtres à Koguryo et arrivai en Liban, la terre de Phénicie qui a été en train de souffrir de guerres perpétuelles. Cependant la spiritualité gentilice fut en train de briller brillamment avec la beauté d’un ciel bleu, une mer, des rayons, et des fleurs en couleurs. Je voulus être entourée par le vent phénicien spécial en perpétuité. Je fus très attirée d’une fois et commençai à vivre une vie nouvelle en regrettant le terroir beau. Ayant trouvé l’âme de mon père dans les ruines de Phénicie datant à peu près 9000 ans en arrière, je réalisai la nature éternelle d’une âme humaine et de la beauté. Ma vie devint guidée par les conditions internes vitales.
J’imaginai qu’en célébrant notre concert international à Tyr nous pussions manifester de la beauté éternelle qui pavât une voie pour réaliser une paix globale. De façon que nous commençâmes à préparer ceci dans l’an deux mille. Des descendants de gens phéniciens m’accueillirent comme leur sœur et coopérèrent avec moi comme l’un des membres de ma famille. Après cinq ans nous célébrâmes le concert des Légendes de Koguryo Redécouvertes en août 2005. Dans sa dernière partie je réalisai que des âmes de Phénicie anciennes se fussent réunies toutes ensemble depuis chaque coin du monde, se retrouvant et versant des larmes depuis des impressions grandes cordiales. Tous les spectateurs se levèrent et continuèrent à nous applaudir avec une ovation debout disant ‘bravo’. La tempête d’un cœur avait gouverné le site. Au jour suivant un journal informa de notre concert sur sa première ligne.
Il fait quelques jours je fus invitée par un ambassadeur libanais et présentai un poème crée par un poète libanais que je connus très bien. Il était en train de vivre à Bint Jibeil et un membre parlementaire de Liban. Il élabora célébrer notre concert dans sa ville qui fut détruite par l’armée israélienne et maints gens furent tués. Il nous enseigna autour de la ville avec des yeux tristes et invita chaque membre d’équipe japonais à manger un déjeuner chez lui. Parce que chaque restaurant fut aussi détruit nous fûmes servies avec des mets manufacturés libanais. Je ne pus point oublier leur saveur délicieuse et la tiédeur de son cœur et accueil. La mémoire était toujours vivante et brillait brillamment cordialement. Même que nous fussions en train de vivre dans un site lointain, je considérai cette expérience comme la boussole précieuse pour vivre un être humain authentique.
À Bint Jibeil il y eut des flux beaux de lumière et du vent. De l’air fut transparent et du vent frais purifia mon cœur avec un bruit beau comme un jet d’eau. Je sentis que sa côte correspondît à Jésus-Christ monter. Le vent transcenda l’histoire et me dit quelque chose au sujet de la nature éternelle d’une âme humaine.