keiko koma

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1st June 2013

Réunion

Étant réunis de nouveau avec des amis éthiopiens je jouis d’une jouissance cardiaque grande. Ils visitèrent Japon en accompagnant le premier ministre d’Éthiopie pour participer au Forum Africain. Ce fut une visite assez soudaine et il me fut dit que leur horaire ne fût pas fait ouvert puisqu’ils voyageassent dans un avion loué spécial. Je fus très joyeuse puisque cette fois nous eussions l’opportunité de nous réunir. Je considérai ceci bon signe pour des mouvements nouveaux. Maintenant était le temps, tandis que les activités de NPO KOMA eussent commencé depuis un projet de concert international en Éthiopie dans l’année 2001. Nous vainquîmes maints obstacles et le célébrâmes avec succès avec tant comme 110,000 spectateurs et le transmîmes en vif par télé satellite et transmission d’Internet. Et aujourd’hui pour ma reconnaissance grande et joie il me fut dit que des gens éthiopiens qui participassent au concert sussent que notre concert eût réalisé un changement grand dans la direction future d’Éthiopie et que maintenant ils eussent besoin des cours de conseil d’Idaki et d’autre concert majeur pour changer la mentalité gentilice. Je fus impressionnée par leurs yeux beaux et me sentis extrêmement joyeuse puisque nous pussions partager notre cœur. Je sentis vraiment que ce fût d’un être humain. Une conversation avec une personne qui fût sincère et honnête cordialement me faisait réaliser la joie d’être vivante et remplie avec de la tiédeur cardiaque.
Après le dîner nous leur demandâmes s’ils préférassent du café ou du thé, chacun dit thé, avec un visage souriant assez compliqué, qu’ils ne pussent pas mélanger la saveur merveilleuse du café dans notre café, et que comme ils fussent toujours en train de boire du café authentique d’origine ils ne pussent pas boire du café dans un hôtel et restaurant au Japon. Après une absence longue je rappelai la sensation de parler avec des gens qui sussent la vérité. En réalité des gens qui sussent la vérité avaient des yeux jolis et impressionnaient mon cœur.
Ils me dirent aussi que notre premier ministre, M. Abe, arrivât à aimer le café éthiopien. J’avais commencé notre négoce cafetier tandis que nous fussions priés par des gens éthiopiens de promouvoir leurs produits délicieux tels qu’ils l’étaient. Je voulus que leur saveur délicieuse diffusât des visages souriant partout. Vraiment je jouis et devins optimiste dans la réunion d’aujourd’hui qui pava une voie vers un futur merveilleux.