keiko koma

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20th Mar 2013

Fleur de cerisier

Tandis que je foutais le camp de l’autoroute à Gaienmae des fleurs de cerisier fleurissant furent vues avec un arôme sucré qui teignit partout avec une couleur rose. Je doutai combien de fois j’eusse été attirée par cette scène et spéculai au sujet de la signification de ma vie dans cette année. Depuis des années le visage triste et attristé de fleurs de cerisier paraissait merveilleusement beau. J’entendis une voix dans mon cœur qui dit que des fleurs de cerisier fussent des cœurs de gens japonais depuis l’antiquité. J’avais l’habitude de sentir de la tristesse grande et solitude tandis que je voyais des gens célébrer l’éclosion de fleurs de cerisier et les vis à travers des yeux lacrymogènes. Dans l’an 2009 quand je visitai Kyoto je sentis quelque chose de différente et un chauffeur me dit que des fleur de cerisier représentassent Japon tandis que des fleurs de pêcher représentassent le continent principal qui coïncida avec ce qui était ouï en Chine. Dans un site historique de Koguryo je demandai à un conducteur si des fleurs de cerisier y eussent éclos et il répondit qu’il n’y eût que des fleurs de pêcher. En réalité depuis l’enfance je cultivai des fleurs de paix qui paraissaient raconter l’arrivée de l’époque fleurie que je considérai comme la mienne. Donc des fleurs de pêcher me donnaient toujours une joie grande et du relief et je les chérissais comme mes ancêtres dont les vies eussent été partagées avec des fleurs de pêcher. Je fus guidée à Kyoto à promouvoir la paix et unité de gens d’Asie Orientale et pour ma joie des fleurs de cerisier à Kyoto ne paraissaient plus tristes et je commençai à réaliser leur beauté.
Après quand je fus guidée à visiter la zone de Hokoriku en Japon sur le cap d’Amagasaki un arbre cerisier grand m’embrassa avec l’arôme et la tiédeur de ma mère. Je fus joyeuse et à point d’exclamer son nom de ma mère comme si elle y fût alentour. J’imaginai qu’elle fût en train de me sourire et réalisai la tiédeur de ma mère dans une ère lointaine ancienne que je ne connusse de rien. Dans le concert des Légendes de Koguryo Redécouvertes célébré à Kanazawa je narrai des poèmes à ce sujet et ne pus point éviter de verser des larmes tandis que ils fussent des poèmes animiques. Les cœurs de japonaises pour des fleurs de cerisier et leurs âmes me firent réaliser la nature d’une mère grande de Japon et je fus remplie avec de la joie grande.
La fleur de cerisier de cette année parut très légère et parut une fleur flottant sur l’air en train d’éclore dans l’univers vaste. Une couleur rose jolie coula dans ma vie. Je devins très impressionnée tandis que je reconnaissais que la vie en nature fût vraiment gentille et amicale. Je fus joyeuse de pouvoir les voir cette année aussi. Merci beaucoup.