keiko koma

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15th Mar 2013

Crépuscule

Après une absence longue le mont Iwate fut vu totalement avec sa forme. Ceci rafraîchit mon cerveau et j’abandonnai Iwate et conduisis de retour à Tokyo. Sur son chemin je vis le crépuscule beau qui me fit en rappeler un au mont Sinaï qui manifesta un lumiérissage merveilleux gravé sur mon cœur que je n’oublierais jamais dans ma vie puisque j’expérimentai une rencontre avec dieu et réalisai la joie de vivre une vie éternelle.
Le crépuscule à Fukushima me fit rappeler aussi que la terre de Fukushima eût nourri ma vie toujours que je trouvasse des difficultés après commencer les activités d’Idaki. Il parut égal à une terre historique de Koguryo, mon terroir. Une vue de crépuscule gentil et élégant me fit sentir la tiédeur de famille dans l’antiquité et je devins remplie avec de l’espoir pour voir mes copines de nouveau dans quelque futur. Avec ceci dans mon cerveau j’arrivai à savoir que des douleurs cardiaques pussent être transformés en énergie nouvelle pour ouvrir un futur.
Une vue de nature manifesta un lumiérissage qui exprima un moment important dans ma vie. Chaque chose fut connectée avec ce que j’étais maintenant et chaque chose parut briller brillamment.
Étant de retour du alpinisme très sévère dans le mont Sinaï le crépuscule nourrit mon cœur et manifesta une nature éternelle vitale. De la terre stérile sauvage fut vue mais je trouvai des fleurs qui émurent beaucoup mon cœur. Je continuai à marcher. Des chèvres et du vent furent en train de souffler alentour portant de la tiédeur familiale et de l’éternité cardiaque. Le crépuscule d’aujourd’hui à Fukushima manifesta la même tiédeur d’une famille nombreuse sur la planète terre. Je souris et dis au crépuscule que des membres d’une famille nombreuse ne se nuiraient jamais mutuellement ni se tueraient, tandis qu’il resta muet et beau. Ceci me montra une dimension supérieure du monde qui transcenda celui de notre monde dans le passé. Un monde nouveau devint amplement ouvert et une ère nouvelle humaine commença qui permit à chaque vie humaine belle y vivre dessus telle qu’elle était.