keiko koma

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6th Jan 2013

Légendes de Koguryo

Dans les cours appliqué de conseil d’Idaki célébrés au début de cette année je fus contente d’entendre des âmes humaines. Je devins confiée en ce que cette année nous pûmes réaliser nos nous véritables. Du vent et de l’arôme ont été mes copains pour des expressions animiques que je narrasse dans des concert des Légendes de Koguryo Redécouvertes. Le poème au sujet du roi Jakou fut créé vrai à un message reçu debout devant son tombeau avec les yeux fermés. Quand je commençasse à narrer le poème pour première fois en scène je ne pus pas m’abstenir de verser des larmes infiniment tandis que M. l’Ambassadeur de Liban à Japon et ses hôtes versassent aussi des larmes disant que mon poème appelât à leurs âmes même qu’ils ne comprissent pas japonais. Dans autre concert, sept demoiselles de ambassade iranienne participèrent et toutes versèrent des larmes de la même manière. Une d’elles me dit toujours chaque fois que nous nous retrouvâmes qu’elle n’eut jamais oublié cette expérience et eût été toujours en train de douter la signification de ses larmes. Quand je l’eusse retrouvée en Iran elle fit cadeau d’un souvenir avec un sourire grand, disant qu’elle m’apportât un cadre photographique de l’étoile féminine la plus fameuse d’Iran et pour ma surprise grande et une excitation cardiaque tandis que je l’ouvrais il y eut une photo d’une dame qui s’assît dans un site historique en Iran et parût parler avec le vent. Je sentis un arôme beau et le souffle d’un vent spécial. Tandis que je lui reconnaissais beaucoup le cadeau, soudain je me rendis compte de ce que ce fût ma photo et ensembles avec elle nous éclatâmes en rires. Celui-ci fut un moment très plaisant tandis que nous nous assurions mutuellement de notre unité cardiaque.
En une autre occasion deux chevaliers iraniens furent très émus par mon poème au sujet du roi Jakou. Tandis que je le narrasse avec des yeux lacrymogènes ils devinrent sérieusement motivés à réaliser le concert des Légendes de Koguryo Redécouvertes en Iran même qu’en Iran selon sa loir islamique il fût défendu de célébrer un concert musical par une femme comme moi. L’un d’eux dit que notre concert célébré à Persepolis fût égal à avoir commis une révolution, de façon qu’il fût joyeux d’affronter n’importe quelles difficultés. Nous témoignâmes toujours avec joie grande la victoire du monde animique qui fit possible n’importe quelles choses apparemment impossibles et pava un sentier vers un futur glorieux de l’humanité comme guidée par Être Grand. Celui-ci fut le principe de la vie humaine. Depuis que je commençasse à organiser le concert des Légendes de Koguryo Redécouvertes au Japon mon expression animique a été diffusée au reste du monde.