keiko koma

17 Oct 2012

 Pluie

Sous la pluie à Kyoto dans le jardin intérieur du Café de la galerie de Koma à Yasaka, je créai des costumes marbrés dans le style d’un kimono traditionnel japonais pour des petits indiens qui participeraient à notre concert. Du vent, de la pluie, et de la lumière furent mélangés pour manifester le dessin unique et extrêmement dramatique dans le monde qui me fit sentir l’univers vaste. Aujourd’hui des gouttes pluviales furent projetées sur elles comme des fleurs de lumière et parurent étonnamment belles et pures. Ceci aussi fit mon cerveau pur et transparent. Un petit qui se la mît était unique, étant dans le monde, et avec mon costume on brillerait sûrement brillamment et augmenterait une lumière de la liberté vitale ; la frontière entre l’intérieur propre et le monde externe disparaîtrait et deviendrait amusant. Le temps d’aujourd’hui et les gouttes pluviales parurent comme des fleurs de lumière venant en bas à terre depuis un monde célestiel. Elles furent belles et purifièrent mon coeur. Tandis que j’observais toujours la projection météorologique, je ne sus pas qu’un jour pluvieux pût faire ma marbrure vraiment merveilleuse. Je fus très contente et chaque membre d’équipe jouit en travaillant avec moi. Des desseins créés par hasard encouragèrent notre vie avec de l’espoir grand et je voulus les partager avec des petits indiens.