keiko koma

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14 Aout 2012

Un romantisme de Koguryo

 

Des voix de cigale résonnèrent vers mon coeur.
Arôme d’été.

Vent maritime.
Tristesse perpétuée et cachée dans un coeur,
Même que l’on reprît la vie d’une vie normale,
Fut gravée dans le puits vital,
Et transmise fois après fois à des générations.

Donné que je ne savais rien au sujet de ce qui se passait en réalité,
Le bruit du vent maritime,
Arôme de jour estival,
Me firent trembler dans le puits de mon coeur et
Des larmes montèrent dans mes yeux.

Dans une chambre à la mode classique européenne,
Je fus entourée par la tiédeur du bois.
À travers des rideaux en chiffon blanc
Je vis la vue sur la fenêtre.
Le bruit de la cigale résonna partout et contre la montagne.
Spontanément j’ai caché les réclamations dans mon coeur
Qui étaient sur le point d’éclater
Et je restai toujours en observant l’extérieur.

Arôme de jour estival.
Le lumiérissage d’un temps antique.
Le temps est arrivé de dire la vérité.
J’anticipai que la porte du secret fût sur le point d’ouvrir,
Qu’une fois je l’eusse fermée à clé.
De la lumière est arrivée dans mon coeur qui fut congelé jusqu’ici.