keiko koma

29 Juillet 2012

À des fleurs de vents

Je restai extrêmement reconnaissante puisque ensemble avec nos amis libanais moyennant la diffusion vivante en vidéo par Internet nous expérimentâmes le concert d’Idaki Shin, et j’imaginai qu’un trou eût pénétré un mur obscur et épais. Éventuellement je rappelai un poème titré ‘Fleur venteuse’ que je créai dans le passé, qui traitait la tristesse d’une déesse qui délivra un poème à un enfant qui était sur le point de mourir par perte de sang dans un désert et qui écrivit que ce fût comme l’éclosion d’une fleur dans un désert. J’embrassai de l’espoir grand puisqu’un vent depuis un désert m’a visité me disant que l’histoire triste humaine qui a sacrifié maintes vies de gens fût sur le point de conclure. Japon et Moyen Orient étaient fortement connectés par la lumière. Depuis aujourd’hui je travaillerais à Tohoku pour que notre lumière d’espoir atteignît le reste du monde.