keiko koma

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26 Apr. 2012

Un monde en aquarelle

 

Tandis que je fermais mes yeux un monde infini en aquarelle fut pleinement ouvert qui paraissait un ruisseau fluvial. Aussitôt que je me questionnasse quel fût ce monde, je dis que ceci fût un monde d’Être Grand et mon coeur le plus beau et pur fut manifesté. Je fus très émue, remplie avec de la joie, et versai des larme de reconnaissance tandis que je sentais que cette vision m’eût enseigné que notre ère permît à chacune d’exprimer pleinement le coeur propre sincère tel qu’il fût. Je reconnus que dans mon intérieur il y eût un jet d’eau pure qui purifiât et nourrît les douleurs de mon corps et âme. Ce travail précieux d’Être Grand paraissait à point d’être pourvu à des gens par tout le monde. Tandis que j’exprimais assez naturellement ma reconnaissance grande un vent printanier passa à travers mon intérieur me portant un arôme printanier. Des choses se passant dans un monde invisible étaient la réalité de notre monde et notre monde avait déjà été transformé en un autre nouveau. Le monde invisible était infiniment pur et beau. Il me plaisait de pouvoir vivre dans un monde beau et créer notre futur toutes seules en manifestant notre coeur sincère.