keiko koma

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16 Apr. 2012

Vers Kyoto

 

La route depuis Toyama vers Kyoto fut douloureuse puisque je reçus des réclamations gentilices. Où que j’allasse une mode de vie personnelle était douloureuse si l’on ne pût pas manifester pleinement la nature propre. Dans la baie d’Amagozen, je restai sous un cerisier grand qui était en pleine éclosion quand je passai par ici l’année dernière sur le chemin vers Kanazawa pour célébrer le concert des Légendes de Koguryo Redécouvertes, et cette fois-ci je fus soufflée par un vent maritime et un arôme. Des fleurs de cerisier étaient en train de saluer le vent et étaient réellement belles comme s’il n’y en eût aucune dans ce monde. Je fus très attirée vers cela et tandis que je passais dessous de cela je sentis l’arôme familier de ma mère qui décédât déjà. Pour un moment je versai des larmes et clamai le nom de ma mère. Après j’imaginai que ma mère me sourisse. Son sourire fut unifié avec de nombreux visages souriants de mères japonaises depuis l’antiquité. Je fus remplie avec de l’amour envers des mères. Je devins extrêmement joyeuse sous l’arbre. Je rappelai ceci de façon qu’aujourd’hui aussi j’allai dessous de l’arbre grand. Je rappelai aussi que je créasse un poème et le narrasse dans le concert des Légendes de Koguryo Redécouvertes célébré à Kanazawa. Sur la scène je versai des larmes et vis et sentis maints spectateurs qui pleuraient. Cette année il était encore tôt pour que les fleurs de cerisier eussent éclos de façon que les boutons étaient encore raides. J’anticipai qu’ils éclosent dans leur temps et renouvelai notre chemin vers Kyoto. Sur le chemin vers Kyoto je me dis à moi même maintes fois que nous arriverions bientôt à Koma et sentis que des voyageurs anciens pussent avoir dit la même chose et clamai dans leurs cerveaux le nom de Koma et la tour de Yasaka comme leur destin chéri. Ceci me fit être remplie avec le sentiment de la nostalgie et maintes fois je dis ‘a Koma’ avec mon coeur Ernest. En y arrivant je goûtai le potage sucré de Koma Bijin et de la glace souple d’haricots Rouges spécialement faite à main par M. Idaki Shin sur du café qui avait essuyé toutes les fatigues et les douleurs de la conduction longue. Elles ne furent que de la chère simple sinon quelque chose qui purifia ma vie. Depuis maintenant j’étais sûre que des gens de âmes gentilices depuis maintes parties du monde vinssent à Koma et Yasaka. Ce lumiérissage de notre futur me satisfit. Je serais très reconnaissante si des gens imaginassent leur futur glorieux et reçussent maintes inspiration à Koma et commençassent à créer quelque chose de nouvelle et des affaires nouvelles nécessaires pour ouvrir notre futur. De n’importe quelle manière celle-ci fut la motivation originelle pour que j’ouvrisse le Café de la galerie de Koma à Yasaka. Tandis que j’eusse une mission dans le cerveau je pouvais rester toujours vigoureuse et être animée. Un message reçu sur le chemin fut identique à une phrase écrite dans un livre d’histoire ancien et ceci fut qu’en établissant une base dans le district de Higashiyama à Kyoto des gens pavèrent un chemin à Konoe pour Suruga. Celle-ci fut la direction et ceux furent les lieux où nous avons été en train d’organiser les concerts des Légendes de Koguryo Redécouvertes et le concert prochain à être célébré à Konoe su jour suivant, après que celui à Kyoto fût évidemment fait succéder par Être Grand. J’anticipai que la vérité de l’histoire fût manifeste et mon coeur pour Koma fût partagé avec de nombreuses âmes gentilices.