keiko koma

3 Apr. 2012

Vent printanier

Je publiai un livre avec DVD titré Reika qui fut édité depuis des poèmes crées dans mon adolescence. Sa couverture fut faite avec du Washi, le papier traditionnel japonais, avec mes desseins marbrés. Une collection de mes romans courts titrée aussi Reika put être trouvée sur notre site de réseau. Tandis que je les lisais maintenant, je rappelai un vent printanier qui attirât beaucoup mon coeur alors pour une raison inconnue. J’avais été excitée en anticipant un futur merveilleux. Je doutai si un vent printanier vînt depuis le futur. Je me senti comme di je fusse une adolescente ou des jours dans mon adolescence fussent en train de venir en avance de ma vie. D’ailleurs je réalisai l’unité de nombreuses âmes de mes ancêtres qui établirent Koguryo il y a deux siècles, en manifestant la nature éternelle de leur spiritualité en étant séparés après la destruction. Je sentis dans le puis de ma vie un monde sans temps ni distinction du passé, présent ni futur et reconnus que des âmes gentilices y fussent en train de vivre. Je doutai si cette sensation interne pût être exprimée comme vent printanier. Trois mois allaient se passer depuis l’An Nouveau quand je reçus un message depuis la nature et créai un poème que la vie dans nature fût préparée à recevoir l’arrivée d’un printemps authentique. Des fleurs de prunier étaient en pleine éclosion pour raconter l’arrivée du printemps. Cependant maints incidents tristes étaient en train de se passer autour de nous comme les êtres humains étaient incapables de maintenir le pas de la nature qui devint bien préparée à jouir d’un printemps authentique tandis que je susse qu’en réalité dans le puits de ma vie nous fussions unifiées avec la nature. De façon que je devinsse excitée pour avancer embrassée par un vent printanier et une atmosphère nouvelle inconnue dans le passé. Des âmes gentilices une fois séparées dans l’histoire passée se joignirent et commencèrent à vivre une vie nouvelle toutes ensemble dans un monde rempli de lumière printanière. Sincèrement je voulus que ce vent printanier arrivât au coeur des gens par tout le monde.