keiko koma

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22 Feb. 2012

Poème

 

Je rappelai que dans quelque temps du passé M. l’Ambassadeur de Jordanie en Japon me dit que la culture typique des gens vivant dans le désert fût de jouir de narrer des poèmes sur le café en jouant de la musique et l’écoutant accompagnée par le bruit de grains de café en train de se moudre. J’écoutai au sujet de, et aussi vit maintes fois, qu’en Iran des gens eussent l’habitude de se rassembler pour apprécier la narration de poèmes. Depuis l’enfance je pus rester vivante par moyen de la création de poèmes qui furent un encouragement grand pour ma vie. Maintenant maints gens aimèrent mes poèmes et j’ai célébré un rassemblement spécial pour narrer mes poèmes propres à moi maintes fois qui a toujours été concouru par maints gens. Je souris parce que ceci paraissait similaire à la culture dans un pays désertique. Ainsi nous pouvions réaliser notre intérieur qui fut connecté avec le monde très au-delà de l’univers et créer une culture nouvelle qui fût apprécier des poèmes ensemble avec de la musique d’Idaki Shin et notre café sauvage élevé dans le berceau du café. Je remerciai beaucoup le fait de pouvoir contribuer à ouvrir une ère humaine nouvelle en faisant ce que j’aimais le plus. Un livre poétiques nouveau fut complété aujourd’hui et tandis que j’en vis un j’imaginai une flèche de lumière qui me conduisît vers un futur merveilleux. Merci beaucoup.