keiko koma

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14 Dec. 2011

Salon documentaire paternel Keiko Koma

 

Dans l’année deux mille pour première fois dans ma vie je visitai Éthiopie et portai avec moi une caméra de vidéo puisque je voulais filmer les activités de M. Idaki Shin. Je me concentrai sur sa prise en voulant que des gens qui observassent cette vidéo pussent comprendre son travail grand. Dans le village de Gode où même des animaux étaient en train de mourir de faim par sécheresse, toutes nous étions en train de travailler désespérément sur chaque mission puisque nous étions peu nombreuses. Quand nous allâmes à l’hôpital de Gode, maints enfants étaient en train de s’accoucher sur la terre avec seulement un torchon au lieu de draps ou lits. Devant cette vision misérable, pendant un temps je me perdis en doutant si je pusse la filmer ou non. Après M. Idaki Shin me dit avec une voix confirmatrice que je ne devais par l’observer, sinon y entrer. Aussitôt fait des enfants qui avaient été couchés sur terre souffrant de malaria, réunis autour de moi avec des visages souriants, sautèrent pour exprimer leur allégresse. Tandis que la vision oculaire qui me connectait à ma conscience avait l’habitude de séparer la vision de ma vie, une fois réunies et fixées dans le centre, nous pussions nous comprendre mutuellement. Je reconnus que la vie humaine fût connectée avec chacune et fût toujours en train de vivre toutes ensemble. Ceci se passait dans ma vie et je cherchai un cinéaste et très naturellement la filmai. En retournant à Japon j’arrivai à célébrer une réunion dans le Café Akira Roppongi pour observer ma vidéo et la discuter. Puisque seulement peux d’entre celles qui sortissent vers Éthiopie se fussent réunies avec moi aussi loin que Gode et la majorité nous attendît en Addis Ababa, ma vidéo les impressionna beaucoup, en disant se sentir comme si elles fussent ensemble avec moi à Gode. Après maints gens commencèrent à considérer nos projets en Éthiopie comme leurs et continuèrent à nous appuyer. Depuis lors j’ai été en train de célébrer des réunions de salon de vidéo sous le nom de ‘salon documentaire paternel Keiko Koma’. Et aujourd’hui je projetai ma vidéo filmée en Inde aussitôt arrivée de retour au Japon. Chacune y paraissait jouir en l’observant comme si toutes nous eussions voyagé en Inde avec moi. Pour ma part, je pouvais approfondir mon expérience en Inde et comprendre mieux l’importance de notre projet concertant. M. Idaki Shin dit que pour vaincre le problème global de la pauvreté et créer un monde vraiment pacifique tout ce que nous dussions faire était de hausser notre habileté dix pour cent en enrichissant notre intérieur. Dans les cours de conseil d’Idaki Shin et les concerts j’ai expérimenté toujours que je devinsse libérée de chaque chose de trop dans ma vie et des pouvoirs nouveaux fussent en train de surgir depuis l’intérieur de ma vie sans couture pour reconnaître un était meilleur de vie. Spécialement dans tous ses concerts l’on pouvait toujours reconnaître que l’intérieur propre fût effectivement connecté avec l’univers vaste. Quand notre intérieur restait riche, notre vie devenait remplie avec de la vigueur pour achever n’importe quelle chose. Celle-ci était une vie vraiment créatrice. Chacune pouvait réaliser ceci et hausser l’habileté propre. J’imaginai que notre concert en Inde changerait la situation matérielle drastique et positivement et arrivai à comprendre mieux sa signification. Merci beaucoup.