keiko koma

7 May. 2011

Coup de foudre printanier

À Kyoto, dans le jardin intérieur du Café de la galerie de Koma, je créai maintes chemisettes marbrées avec le but d’appuyer la zone frappée par le désastre. Éventuellement il commença à pleuvoir à verse avec du tonnerre. Je continuai à marcher même que les desseins marbrés prévissent qu’il pleuvrait fort tôt, puisque le marbré était connecté avec la vie de la nature et reflétait son mouvement. Je fus étonnée par ceci. Mon équipe d’appui continua à courir tandis que je faisais vite du marbré et réagissait immédiatement à mes inspirations. Aujourd’hui intentionnellement je pris beaucoup de temps pour en terminer une, et délibérément je versai des peinture pour voir la différence, cependant le résultat était le même. De façon que je décidasse de faire du marbré rapidement, comme avant. Ses desseins ne pouvaient jamais être crées intentionnellement. Chaque chose était le résultat de coïncidence. Dû à ceci, les oeuvres marbrées étaient très impressionnantes et paraissaient nous enseigner l’unité de la vie avec la nature. J’aimais réellement le marbré. Quand je mettais un vêtement marbré, je devenais remplie de la sensation de liberté et fidèle à ma propre nature. Je pouvais m’exprimer librement. Parce que les desseins du marbré paraissaient l’univers, je sentais que mon coeur l’embrassât. Un être humain était en train de vivre avec l’univers. Je réalisai la nature de la vie humaine qui était unifiée avec la nature, qui était aussi ce que j’expérimentais dans les concerts d’Idaki Shin, et la sensibilité humaine précieuse commune à l’ère Jomon, qui fut complètement perdue parmi les gens modernes. D’ailleurs maintenant nous étions en train de vivre dans une ère nouvelle, quand le monde trois étapes avant le Grand Éclat fut manifesté pour première fois dans l’histoire humaine. Donc nous devrions renouveler nos vies. J’étais très excitée tandis que j’entendais le bruit d’un tonnerre printanier qui paraissait célébrer l’arrivée d’une ère nouvelle.