keiko koma

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24 Apr. 2011

 

Du vent printanier

 

Dans le jardin intérieur de la galerie de Koma au Café Yasaka à Kyoto je créai maintes choses marbrées et des habits pour des gens dans les zones du désastre. Des pétales de fleurs de fleur de cerisier étaient en train de flotter sur de l’eau en bassins pour marbrer. Je saluai la beauté et mélangeai des couleurs toute seule pour créer des couleurs uniques au monde et les ajoutai sur l’eau. Des pétales de fleurs étaient en train de s’agiter vers les vents entre mes couleurs pour produire des desseins très romanesques en reflétant mon coeur qui sûrement inviterait un vent de rêve et espoir. J’étais très contente en créant notre futur de cette façon. Tandis que nous étions toujours en train de vivre une vie instable puisque des tremblements de terre continuaient à revenir à n’importe quel moment, je reconnus que nous accorder au monde trois étapes avant le Grand Éclat, reconnaître la richesse ne notre intérieur, et nous en défaire de n’importe quelle obscurité dans notre cerveau fût la seule voir pour rester vivantes sous n’importe quelles circonstances difficiles. Dans la conférence sur ontologie dictée par M. Idaki Shin à Kyoto, il dit que la vie de chaque personne fût la fontaine même de reconstruire notre pays et mon âme trembla devant ceci, puisque j’ai été en train d’organiser un événement de conférence titré ‘Nuit pour reconstruire notre pays’ qui coïncidait avec son conte. J’étais contente de voir que mon événement manifestât la vérité. Chaque personne devrait reconnaître les désirs propres plus intimes, manifester la vérité pour reconstruire notre pays. Maintenant nous étions sur le chemin vers le concert charitable de M. Idaki Shin à Kobe qui influencerait beaucoup le changement dans les circonstances négatives.