keiko koma

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23 Feb. 2011

 

Des fleurs racontant l’arrivée du printemps

 

Komae fut connu comme lieu habité par des gens de Koma et aujourd’hui des fleurs rouges de prunier là prirent mes yeux et animèrent mon coeur avec une brise agréable de printemps. J’étais dans un champ de pruniers en fleur qui teignit l’espace d’alentour dans une couleur de fleurs rosées brillantes entre lesquelles des fleurs spéciales blanches furent vues faire le champ extrêmement beau. J’appelai ceci un lumiérissage de joie, allégresse, et vitalité. Le printemps me portait toujours de la joie de vie avec des fleurs belles. Je rappelai qu’avant de trouver M. Idaki Shin ma vie fût pleine de douleurs, cependant, l’arrivée du printemps avait toujours nourri mon coeur et incendié une lumière d’espoir. Pour très difficile que ma vie fût, dans le monde de la nature un printemps nouveau ne manquait jamais d’arriver. Ainsi j’anticipai qu’une ère de printemps viendrait à notre monde humain dans quelque futur. D’ailleurs, puisque ma mère fut née en février, son amour pour moi fut doublé dans mon coeur avec l’éclosion de fleurs de prunier. De façon que cette année d’ailleurs face à une vue merveilleuse de champs de prunier je parlasse avec des fleurs pour rendre à ma feue mère l’allégresse de l’arrivée du printemps. Tandis que je restais debout devant un tombeau de Koguryo un vent printanier traversa la Mère Terre qui portait un arôme d’éternité. Je rappelai que dans mon adolescence l’arrivée du printemps me conduisît toujours à rester vivante et remplît mon coeur d’espoir. Cependant, pour ma grande tristesse, chaque année le printemps décéderait vite et j’eus à supporter un automne triste et un hiver jusqu’à ce qu’il en vînt un autre printemps. Je fus remplie d’allégresse extrême tandis que mon coeur aussi fût en pleine éclosion quand j’accueillis pour première fois le printemps après trouver M. Idaki Shin. Et quand le printemps eût fini et toutes les fleurs fussent tombées, avec l’arrivée de mai, avec le vert frais d’arbres, je réalisai dans ma vie l’accouchement de boutons nouveaux qui paraissaient croître pour faire des fruits. La lumière d’espoir dans ma vie devint de plus en plus forte. Pendant une longue période de temps je parlai avec des âmes de gens de Koguryo qui avaient été enterrées endormies sous le tombeau. Soudain, je fus touchée par une rafale de brise et dis qu’on me portât le printemps éternel. Mère Terre s’était déjà transformée en un monde de lumière et des vents ont chérie des boutons nouveaux-nés de vie. Celle-ci fut ma vision d’un printemps authentique. Même que maints gens ne comprissent pas ce qui se passât dans une dimension invisible du monde une transformation grande était en train d’avoir lieu qui deviendrait visible tôt ou tard. Fût-ce ce qu’il s’en fût de ma vie, je jurai être unifiée avec le vent spécial du printemps authentique et éternité qui évidemment avait son origine en Être Grand.