keiko koma

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10 Nov. 2010

 

Lumiérissage dans mon cerveau

 

Dans le concert des Messages de la Mère Terre célébré à la Salle de Sogaku à Ueno, pour première fois je narrai un poème titré ‘Arôme de ma personne la plus aimée’ que j’eusse créé lors de ma visita aux montagnes du Caucase. Je voulais le faire dans le concert des Légendes de Koguryo Redécouvertes en Azerbaïdjan, cependant, puisque tous les poèmes du concert devaient être traduits d’avance et programmés pour des sous-titres sur des panneaux en scène, j’ai été en train d’attendre l’opportunité de l’exprimer devant un public. Le son du piano joué par M. Idaki Shin en accompagnant mon poème fut très impressionnant et fit se brûler mon coeur et me fit verser des larmes depuis un sentiment nostalgique pour le romanesque. Je doutai au sujet de la nature de ce sentiment spécial et anticipai l’apparition de quelque chose de merveilleuse plus tard dans ma vie. En même temps un arôme beau et un paysage des montagnes du Caucase et des vagues de lumière entre des feuilles d’arbres furent réanimés. Ce fut un moment vraiment joyeux. Aussitôt que je misse quelque chose en mots la réalité à mon entour commençait à manifester quelque chose de nouvelle. Ainsi je suis en train d’anticiper voir ce qui se passera en réponse à mon poème. Hier nuit, je cherchai comment l’on pourrait aller au lac Baikal depuis Japon, puisque j’entendis que ce fût la racine des gens de Koguryo et je fus très motivée à le visiter. Une petite photo trouvée par moi du lac me mut beaucoup. Je me sentis comme si j’eusse trouvé quelque chose d’extrême importance. J’étais sûre que la nostalgie du terroir fût la fontaine d’énergie pour ouvrir le futur propre. J’étais pleine d’espoir puisque je pouvais avancer en embrassant mes rêves les plus chéris.