keiko koma

31 Aug. 2010

Soufflée par des vents de Yasaka

La calligraphie de Koma debout dans le centre de la cour intérieure du Café de la galerie de Koma à Yasaka était en train de briller en or et je me réjouis en l’observant tandis qu’elle représentait une spiritualité haute imbattable debout dans l’espace. Après je reçus dans mon coeur une flèche de lumière provenant directement depuis deux tapis de mentissage installés en ligne à droite et gauche. Celle-ci fut une lumière célestielle provenant depuis très au-delà de l’univers. Elle me fit reconnaître que vivre une vie belle dans le coeur propre créerait un monde beau nouveau. Ceci avait l’air d’être un message simple, mais je devins extrêmement vigoureuse tandis que je reconnaissais l’arrivée du temps pour témoigner en réalité ceci qui a été désiré longtemps à travers l’histoire humaine. Je ne sus pas exprimer la grandeur de cette ère en mots. Pour notre tristesse maximale, dans le passé, des sociétés humaines ont sacrifié nombreuses gens avec des coeurs beaux. Tandis que je créais un poème, le son joli d’une cloche à vent fut ouï dans l’espace de la galerie de Koma, et la tour de Yasaka et ses arbres d’alentour firent circuler des brises amènes. Tout paraissait être vivant et répondre rythmiquement à mon âme. Mon coeur se surchauffa. Les vents paraissaient m’avoir chuchoté disant : ‘Qu’on nous laisse créer un monde glorieux qui permette à chacune rester vivante pacifiquement et en joie’. Le monde des âmes était en train de briller brillamment, unifié avec nos vies, et d’entreprendre des actions toutes ensemble.