keiko koma

25 June 2010

Des vents soufflant autour de Yasaka

Même que j’eusse décidé de retourner aujourd’hui directement à Tokyo, en réalité je fis le tour de divers lieux et me laissai tomber dans le Café de la galerie de Koma à Yasaka le soir puisque j’avais planifié d’y rester. Je vus son jardin intérieur et regardai vers la tour de Yasaka en haut. Des arbres saluaient des vents et commencèrent à me parler de leur joie de me voir à nouveau. D’autres arbres et plantes paraissaient aussi joyeux. Ceci me fit verser des larmes. Je sentis que j’eusse dû suivre mon plan original et y avoir filmé mon programme de conférence en vidéo. De toute façon ma décision finale de revenir ici avant de retourner à Tokyo fut correcte. Il y eut quelque chose d’importante à Yasaka que je n’aurais dû me perdre. Autour de la calligraphie de Koma, je sentis qu’un vent d’éternité soufflât et j’imaginai la spiritualité éternelle dans la tour de Yasaka. Je m’amusai beaucoup à boire un café congelé spécial dans mon oeuvre d’art de Komasui entourée d’arbres et fleurs qui me parlaient avec grande allégresse. D’ailleurs une crème molle avec des haricots rouges sucrés faite par M. Idaki Shin fut plus délicieuse que n’importe quelle chose que j’eusse ingérée dans le passé. Elle me fit oublier le lapsus de temps et me remplit avec de l’énergie exquise. Je me sentis renaître. Après cela je laissai Yasaka et conduisis à Tokyo avec de la joie dans mon coeur tout le chemin.

Vents

Comme s’il y eût maints collègues,
Des vents me parlaient.
Ils dirent d’être plus que contenta de me voir à nouveau.
Je me réjouis à notre rencontre et
Des vents me répondirent joyeusement avec des coups gentils.
Je sentis être venue voir mon familier le plus chéri.
Qui partageât le même coeur pour d’êtres divins.
Ils furent unifiés avec des vents
Pour me raconter sa joie de m’avoir trouvée.
Je fus plus que contente de voir combien profondément ils étaient impressionnés et contents.