keiko koma

16 June 2010

Père de Koguryo

Pour la première fois dans le concert des Légendes de Koguryo Redécouvertes célébré en Iran je pus narrer entier le poème titré ‘Père de Koguryo’ fidèle à son texte original. Je sentis l’ouverture d’un futur nouveau. D’ailleurs je pus narrer un message reçu dans un lieu saint de Zoroastre. Puisque je savais que l’expression d’un monde nouveau était la clé pour ouvrir un futur merveilleux, j’étais en train d’anticiper voir du développement futur de nos activités après ce concert en Iran. L’expression poétique en soi était identique avec ma vie, de façon que fût-ce dans le concert des Messages de la Mère Terre ou dans celui des Légendes de Koguryo Redécouvertes, parfois je m’abstinsse de narrer des poèmes quand je sentais que l’heure ne fût pas encore arrivée. Mon expression était toujours en train d’émerger naturellement de ma vie. ‘Père de Koguryo’ était un poème court, cependant, son signifié couvrait une longue histoire. Tandis que je narrais ce poème accompagnée de la flûte de Koma jouée par M. Idaki Shin, je sentis que mon rêve se réaliserait. Je restai très impressionnée et excitée en anticipant qu’avant peu je parlerais davantage au sujet de son signifié véritable.

Étant retournés au Japon dans la matinée
Des oiseaux chantaient allègrement et une voix belle fur ouïe
À travers d’une fenêtre pleinement ouverte.
Je fus remplie d’espoir pour l’ouverture nouvelle de mon futur
Quand je sentis que je n’avais jamais ouï une voix si belle.
Alors, soudain, je rappelai en avoir ouï un son similaire
Dans le château du mont Wandu.
Sa pure voix des oiseaux put être ouïe dans l’espace d’alentour seulement quand
Des gens fussent remplis de joie de coeur.
Les bons moments joyeux de la cité du château de Wandu, un foyer ancien de Koguryo,
Furent pourvus à mon foyer à Tokyo.
L’espace fut connecté partout.
Quand une personne reconnût l’état véritable de la joie, alors
Des voix exquisément belles d’oiseaux exprimeraient la beauté de notre monde.
Quelle joie que de rester vivante remplie d’amour!