keiko koma

12 Apr. 2010

Dans un terroir de Koma

Mon père avait l’habitude de m’amener à ce village de Koma.
Il était toujours plein de tristesse inguérissable et
Étant enfant je ne pouvais y rester qu’un peu de temps :
Je fermai mon coeur et marchai par la terre
À l’ombre d’obscurité mentale.
Dû à ma rencontre avec M. Idaki Shin, des réclamations historiques
Perpétuées dans le village de Koma ont été libérées.
L’espace d’alentour fut purifié chaque fois que nous le visitions.
Aujourd’hui des fleurs de cerisier écloraient et un choeur de rossignols nous fit les bienvenus.
Des belles fleurs en diverses couleurs portèrent joie à mon coeur :
Narcisses, myosotis, fleur de cerisier en rose, et azalée.
Maintenant s’ouvrait un monde nouveau pleinement devant nous.
L’âme du roi Jakou fut ressuscitée pour être unie avec ma vie.
Notre futur glorieux y fut pourvu.