keiko koma

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19 Mar. 2010

 

Un rêve de printemps

 

Je m’amusai beaucoup en créant des oeuvres d’art nouvelles entourée de l’arôme d’un rêve de printemps. Je laissai pleinement ouvertes les fenêtres de mon atelier et laissai tomber des peintures d’aquarelle pour générer des desseins dramatiques tissus avec de l’eau, lumière et vent. Ils correspondaient merveilleusement à mon idée de la vie, le grand romantisme de l’histoire. Je ne les imaginai pas d’avance, sinon qu’ensemble avec mes employés nous nous amusâmes avec leur nature imprédictible. Tous applaudirent chaque fois que je créais un dessein nouveau et mon atelier fut très animé. Tandis que je sortais chaque textile avec des desseins de l’eau et en portais un au balcon pour le dessécher, une brise de printemps vint danser avec lui sur l’espace. J’imaginai le lumiérissage d’un rêve de printemps. Au Café Akira et dans la galerie de sous-sol de Keiko Koma, la même impression fut renouvelée dans mon cerveau ensemble avec une mémoire belle de Zenzai fortunés, Koma Shiruko manufacturé par M. Idaki Shin et son café spécialement servi. Ils m’encouragèrent beaucoup à réaliser mes rêves. L’un après l’autre mais constamment et sans couture je paverais un chemin pour réaliser notre concert au Mont Gojo cet automne prochain. Ma vie fut pleine d’espoir et entourée par l’arôme d’un rêve de printemps.