keiko koma

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6 Feb. 2010

 

Lumière de vert d’herbe frais

 

Je décidai de célébrer le Setsubun, le début du printemps, en convoquant une foire de mes nouvelles oeuvres d’art en verre, Komasui, et je me réjouis et levai la voix en regardant la photo de son billet. Je restai excitée devant sa lumière brillante et l’arôme qui paraissait parler de l’arrivée de la station de printemps et l’ère de la vérité pour l’histoire humaine. Je rappelai que l’herbe de la photo entra dans mon coeur lorsque je tournais à Kyoto tandis que quelqu’un narrait un poème sur une princesse ancienne se dirigeant à moi. J’imaginai un futur beau tandis que passait un vent de printemps à travers de ma vie. Maintenant que j’avais ouvert le Café de la galerie de Koma à Yasaka, Kyoto, je jouai un DVD qu’incluait ma narration du poème pour reconnaître que le message du poème était véridique. Tout était réel. Mon corps et âme tremblèrent devant ce grand romantisme de l’histoire qui n’aurait jamais dû se terminer.