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Rêve du Liban

Aujourd’hui je fis l’installation de mes œuvres d’art dans la salle d’expositions d’UNESCO, à Beyrouth. Je me trouvai extrêmement satisfaite devant la présence d’un espace beau. M. Idaki Shin sélectionna une œuvre appelée La Sagesse du Roi Tomei pour mettre au centre de l’exposition. Après toute l’exposition paraissait être animée de bonheur et je sentis que le centre de tout le Liban était résolu. Il écrivit ‘Koma’ en calligraphie japonaise et la situa devant l’œuvre. Après il continua à écrire ‘Le Fleuve Amnokwang’, ‘Rêve du Mont Gojo’, et  ‘Rêve du Liban’ tandis qu’il demandait à M. Ghazi comment il interprétait l’œuvre en arabe et celui-ci répondit ‘Rêve du Liban’. Chaque calligraphie exprimait la réalisation de la paix mondiale. Et nous décidâmes mettre à côté de ‘Koma’ ‘Rêve du Liban’ comme titre arabe. Après tout j’appelai mon exposition ‘Rêve du Liban’. Ici tout se balance harmonieusement en des suaves brises du Liban et resplendit plein d’une nouvelle lumière d’espoir. Maintenant j’ai des calligraphies ‘Koma’ jumelles, l’une au Centre de la Fusée, l’autre ici à Beyrouth. Après, dans le cours d’aujourd’hui, je descendis au marché de Hamura pour acheter des cadres pour des photographies imprimées par M. Idaki Shin et je jouis de belles vues sur la route de la côte avec des brises agréables. Je me rappelai ma première visite au Liban. Ce fut peu après perdre mes deux parents et je cherchai à récupérer mon identité à la recherche de l’origine de mes ancêtres. M. Idaki Shin suggéra que j’allasse au Liban, le centre de la civilisation phénicienne qui pût avoir des liens avec Koguryo dans l’antiquité. Et dans un site historique de Tyr je retrouvai l’âme de mon père qui m’enseigna la nature éternelle de la vie humaine. Là je pus me récupérer. Huit années sont passées depuis lors et je suis vraiment reconnaissante envers ma vie puisque j’ai réalisé plusieurs de mes rêves et tout me conduit à paver le chemin vers la paix globale.